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EVALUATIONS ENVIRONNEMENTALES

Nom du client:  MINADER/PIDMA

Le PIDMA envisage de réhabiliter quatre tronçons routiers dans les Régions du Sud-Ouest et du Littoral. Soit un total de 143 Km de routes rurales. Dans la région du sud-ouest particulièrement, les tronçons font une longueur de 62,5 km notamment dans les départements du Fako et de la mémé. Elle concerne les localités de Kuke Kumbu, Bova, Bokosso, Muyengue Trouble à travers les tronçons Mbebe – Ndom, Yingui – Mininga, Muyuka – Moéli.

L’étude d’impact environnemental et social du projet de réhabilitation de 143 Km de pistes rurales dans les Régions du Littoral et du Sud-ouest de l’Etat du Cameroun à travers le PIDMA a pour objectifs de déterminer les impacts environnementaux et sociaux tant positifs que négatifs sur l’environnement afin d’envisager des mesures de prévention, d’atténuation, de compensation ou de bonification appropriées pour assurer une intégration optimale du projet dans son milieu biophysique et humain.

Nom du client: MINADER/PIDMA

Le PIDMA envisage de réhabiliter cinq tronçons routiers dans la Région du Centre, Département de la Lékié, Arrondissements d’Evodoula, de Batchenga, de Lobo et d’Ebebda. Soit un total de 77,2 Km de routes rurales. La réhabilitation des pistes concerne le département de la Lékié à travers les tronçons Evodoula-Mbebe (Kikot) long de 27 Km dans l’arrondissement d’Evodoula, Ballong II (Centre-ville de Batchenga) – Nkoayos – Mvom Doumba et Nabatala (Carrefour Batchenga) – Rivière Okongolo long de 27,7 Km dans l’arrondissement de Batchenga, Nkolmelen-Nkolyem-Minkoa-Nkolmeyan long de 12 Km dans l’arrondissement de Lobo, Koan I – Koan II long de 6,5 Km dans l’arrondissement d’Ebebda.
L’étude d’impact environnemental et social du projet de réhabilitation de 77,2 Km de pistes rurales dans la Région du Centre de l’Etat du Cameroun à travers le PIDMA a pour objectifs de déterminer les impacts environnementaux et sociaux tant positifs que négatifs sur l’environnement afin d’envisager des mesures de prévention, d’atténuation, de compensation ou de bonification appropriées pour
assurer une intégration optimale du projet dans son milieu biophysique et humain.

Nom du client: MINADER/PIDMA

Le PIDMA envisage de réhabiliter trois tronçons routiers dans la Région de l’Est, Départements du Haut Nyong, Arrondissements d’Angossas et d’Abong-Mbang. Soit un total de 49,5 Km de routes
rurales. La réhabilitation des pistes concerne le département du Haut Nyong à travers deux arrondissements, celui d’Abong Nbang par les tronçons : Nkolvolan-Oboul-Ntimbe I – Ntollock Bercy long de 38,5 Km et Ntankuimb – Mbewa long de 4 Km ; l’arrondissement d’Angosas par le tronçon Mpoudou – Mekouangue long de 7 Km.  
L’étude d’impact environnemental et social du projet de réhabilitation de 49,5 Km de pistes rurales dans la Région de l’Est de l’Etat du Cameroun à travers le PIDMA a pour objectifs de déterminer les
impacts environnementaux et sociaux tant positifs que négatifs sur l’environnement afin d’envisager des mesures de prévention, d’atténuation, de compensation ou de bonification appropriées pour assurer une intégration optimale du projet dans son milieu biophysique et humain.

Nom du client: MINADER/PIDMA

Le PIDMA envisage de réhabiliter deux tronçons routiers dans la Région de l’Adamaoua. Soit un total de 63,7 Km de routes rurales. La réhabilitation des pistes concerne le département de la vina à travers deux arrondissements notamment celui de Nyambaka par les tronçons Carrefour Mangoli – Bassin Lomié, long de 22 km et celui de Mbé par le tronçon Mbé-Carrefour Sassa Mbersi d’une longueur de 41,7 km.
L’étude d’impact environnemental et social du projet de réhabilitation de 63,7 Km de pistes rurales dans la Région de l’Adamaoua de l’Etat du Cameroun à travers le PIDMA a pour objectifs de déterminer les impacts environnementaux et sociaux tant positifs que négatifs sur
l’environnement afin d’envisager des mesures de prévention, d’atténuation, de compensation
ou de bonification appropriées pour assurer une intégration optimale du projet dans son milieu biophysique et humain..

Nom du client: MINADER/PIDMA

Le PIDMA envisage de réhabiliter douze tronçons routiers dans les Régions du Nord et de l’Extrême –Nord, Départements de la Bénoué, du Diamaré, du Mayo Sawa et du Mayo – Kani, Arrondissements de
Garoua 3e (tronçon Mayo Dadi – Bibol : 9 Km), du Mayo Hourna (tronçons Tawoï – Barndaké : 9 Km et Tawoï – Patra : 7 Km) , de Pitoa (tronçons Banayé – Pitoa : 8 Km et Banayé – Ndoudja 7 Km), de Bogo (tronçons Guirvidig – Mayo Aheing : 7,8 Km, Guirvidig – Kayam : 18,3 Km, Guirvidig – Siao : 11,4 Km, Guirvidig – Diga – Mougouna – Oura – Mousgoum – Mayo Vrik: 15,1 Km) de Tokombéré (tronçon
Tokombété – Yamagoulé: 4 Km), et de Touloum (tronçons Touloum – Bisséo: 3 Km et Touloum – Kofidé: 7 Km).

L’étude d’impact environnemental et social du projet de réhabilitation de 106,6 Km de pistes rurales dans les Régions du Nord et de l’Extrême Nord l’Etat du Cameroun à travers le PIDMA a pour objectifs
de déterminer les impacts environnementaux et sociaux tant positifs que négatifs sur l’environnement afin d’envisager des mesures de prévention, d’atténuation, de compensation ou de bonification
appropriées pour assurer une intégration optimale du projet dans son milieu biophysique et humain.

Nom du client: MINTP

Le projet s’inscrit en droite ligne de la politique de développement du Cameroun relative à l’amélioration des conditions de circulation sur le réseau routier national, dont le faible niveau de service actuel entrave la bonne circulation des biens et des personnes. La route
Ngaoundéré-Garoua (lots 3 et 4), tronçon de la route nationale N°1 (RN1) traversant le département de la Vina dans la région de l’Adamaoua, et les départements du Mayo Rey et de la Bénoué dans la région du Nord, illustre clairement les difficultés rencontrées par les usagers au quotidien. La réhabilitation de cette route contribuera significativement à l’amélioration de ses caractéristiques de durabilité (15 ans), de sécurité et de confort.
La réalisation de l’EIES du projet, conformément aux dispositions de la loi cadre relative à la gestion de l’environnement et ses textes d’application subséquents permettra de ressortir les impacts potentiels de la réhabilitation de la RN1 dans son environnement et d’anticiper sur les effets néfastes qu’il pourra causer.

Nom du client: PDUE

Le projet de Développement des Secteurs Urbains et de l’approvisionnement en eau (PDUE) financé avec un crédit IDA entre 2008 et 2015 a confirmé en ce qui concerne son volet urbain, les avantages de l’approche participative et par niveau de service et du principe de contractualisation Etat-Commune. C’est fort de ses acquis que le Gouvernement du Cameroun a sollicité de la Banque Mondiale (IDA et BIRD), la conclusion d’un accord de prêt pour le financement d’une nouvelle opération urbaine sous la thématique des villes
inclusives, prévue pour démarrer début 2017. Bien que les sous-projets et les besoins en terres ne soient pas encore précisément connus et identifiés à cette étape du projet, Le Gouvernement a trouvé important de définir des mesures de portée générale envisagées
pour la mitigation des impacts sociaux potentiels. D’où la nécessité de définir un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) pour le nouveau projet.

Nom du client: MINADER/PDVI

L’activité économique du Cameroun très variée poursuit son expansion depuis la reprise entamée en 2010. La croissance du PIB réel s’est consolidée à 4,8% en moyenne sur la période 2011-2013. La vision 2035, adoptée en Mars 2009, ambitionne de faire du Cameroun
un pays émergent, démocratique et uni. Pour le secteur rural, elle se fixe comme objectifs entre autres de : résoudre la crise alimentaire et faire du Cameroun le grenier de l’Afrique centrale grâce à une « révolution agricole » qualifié d’agriculture « de seconde génération »
par le Chef de l’Etat dans son discours au Comice agropastoral d’Ebolowa en 2011.

Nom du client: MINTP

Le gouvernement camerounais se propose de procéder au bitumage des voies de raccordement des axes routiers Yaoundé-Douala (RN3) et Yaoundé-Bafoussam (RN4) aux unités administratives
avoisinantes. Ce projet de bitumage des routes existantes constitue des travaux consistants à savoir de dégagement des emprises sur une largeur de 40 m, de mise en forme de la plate-forme de 9 m, d’assistance et de drainage de la plate-forme, de construction des ouvrages de franchissement des cours d’eau, de mise en place des différentes couches de chaussée, de recherches et de pose des
ouvrages hydrauliques.
Au regard de la législation en vigueur, ces travaux doivent faire l’objet d’une étude d’impact environnemental et social (EIES). L’objet de l’étude est d’évaluer les incidences directes ou indirectes des activités du projet sur l’équilibre écologique de la zone d’impact afin d’assurer son insertion harmonieuse dans son milieu d’accueil. Elle présentera également les principales technologies et les critères qui ont conduit au choix de la technologie privilégiés, l’emplacement des infrastructures à mettre en place, les caractéristiques techniques du projet, les échéanciers de chaque activité et les types et qualités de tous les matériaux qui feront partie du projet, leur provenance et le mode d’obtention. Cette étude servira de guide de surveillance administrative tout au long de la mise en œuvre du projet.

Nom du client: MINSANTE

Le gouvernement camerounais se propose de procéder au bitumage des voies de raccordement des axes routiers Yaoundé-Douala (RN3) et Yaoundé-Bafoussam (RN4) aux unités administratives
avoisinantes. Ce projet de bitumage des routes existantes constitue des travaux consistants à savoir de dégagement des emprises sur une largeur de 40 m, de mise en forme de la plate-forme de 9 m, d’assistance et de drainage de la plate-forme, de construction des ouvrages de franchissement des cours d’eau, de mise en place des différentes couches de chaussée, de recherches et de pose des
ouvrages hydrauliques.
Au regard de la législation en vigueur, ces travaux doivent faire l’objet d’une étude d’impact environnemental et social (EIES). L’objet de l’étude est d’évaluer les incidences directes ou indirectes des activités du projet sur l’équilibre écologique de la zone d’impact afin d’assurer son insertion harmonieuse dans son milieu d’accueil. Elle présentera également les principales technologies et les critères qui ont conduit au choix de la technologie privilégiés, l’emplacement des infrastructures à mettre en place, les caractéristiques techniques du projet, les échéanciers de chaque activité et les types et qualités de tous les matériaux qui feront partie du projet, leur provenance et le mode d’obtention. Cette étude servira de guide de surveillance administrative tout au long de la mise en œuvre du projet.Ce présent projet vise à développer le district de santé de Yaoundé 1er. Dans ce District de santé, c’est l’hôpital Jamot qui fera l’objet d’une restructuration. Ce dernier contiendra désormais un département pour traiter les accidentés de route, les violences urbaines, des services de vénérologie et de psychiatrie pour le traitement du VIH/SIDA et des maladies mentales qu’on prédit augmenter avec le temps.
L’étude d’impact environnemental et social détaillée du projet de rénovation de l’hôpital Jamot de Yaoundé (Arrondissement de Yaoundé 1er , Département du Mfoundi, Région du Centre)
par le MINSANTE a pour objectifs de déterminer les impacts environnementaux et sociaux tant positifs que négatifs sur l’environnement afin d’envisager des mesures de prévention,
d’atténuation, de compensation ou de bonification appropriées pour assurer une intégration optimale du projet dans son milieu biophysique et humain.

Nom du client: MINMIDT

Le projet vise la transformation et la valorisation des produits agro pastoraux produits localement afin de générer une valeur ajoutée à même de satisfaire les exigences de développement économique de la région de l’Extrême-Nord. Ce projet va contribuer à bâtir un label des produits « made in Cameroun » et les produits du complexe pourront se positionner sur le marché international grâce à leur qualité qui sera à même de faire face à la concurrence des produits des pays d’Europe.
La réalisation de l’EIES du projet, conformément aux dispositions de la loi cadre relative à la gestion de l’environnement et ses textes d’application subséquents permettra de ressortir les impacts potentiels de l’installation et de l’exploitation du complexe dans son environnement et d’anticiper sur les effets néfastes postérieurs à l’exploitation.

Nom du client: SNH

La Société Nationale des Hydrocarbures (SNH) du Cameroun et GDF SUEZ se proposent d’exploiter les champs majeurs de gaz naturel situés sur la côte du littoral camerounais et ainsi permettre l’exportation de Gaz Naturel Liquéfié (GNL). Pour ce faire, un gazoduc principal de transport sous-marin acheminera les hydrocarbures produits par différents opérateurs des champs gaziers du littoral camerounais jusqu’à l’usine de liquéfaction de gaz à MBORO dans la zone du complexe industrialo – portuaire de Kribi. Chaque champ gazier sera relié au gazoduc principal par un gazoduc dit en antenne.
L’étude d’impact environnemental et social vise à évaluer les incidences directes ou indirectes de la réalisation des travaux de construction d’une usine de liquéfaction de gaz naturel et son exploitation ultérieure, ainsi que du gazoduc sous-marin de transport du gaz naturel et son exploitation ultérieure sur l’équilibre écologique de la zone d’implantation et de toute les régions affectées par ces travaux, le cadre et la qualité de vie des populations et sur
l’environnement en général, et d’autre part à proposer des mesures susceptibles d’éviter ou de minimiser les impacts négatifs desdits travaux. Elle s’intègre dans le plan global de développement de la zone d’impact direct du port et des investissements industriels, touristiques et infrastructurels envisagés à court et moyen termes.

Nom du client: CNPS-SNH

En raison des déficits en énergie électrique que connaît le Cameroun depuis quelques années et pour contribuer à la politique du gouvernement dans ce secteur, la SNH (Société Nationale des Hydrocarbures) envisage de construire une centrale thermique à gaz à cycle combiné de 400 MW a Bipaga 1 au lieudit Eboudawaé situé à 20 km au nord de Kribi au bord de l’Océan Atlantique sur une partie des 25 ha acquis par la SNH; cette centrale sera approvisionné par une usine de traitement de gaz située à proximité alimentée par le gaz
extrait offshore sur le permis Sanaga de PERENCO Cameroun. Une EIES a été réalisée en 2006 sur le même site portant sur l’usine de transformation de Gaz.
L’objet de l’étude d’impact à réaliser selon la réglementation camerounaise en vigueur et les normes de la Banque Mondiale est d’actualiser les informations sur l’environnement physique, institutionnel et socio-économique et d’identifier les principaux impacts spécifiques liés à ces travaux sur le milieu naturel autour du site d’une part et d’autre part de proposer et d’évaluer toutes les mesures d’atténuation ou de suppression des impacts négatifs et nuisances dans le cadre d’un PGE (Plan de Gestion de l’Environnement) et d’un PIR (Plan d’indemnisation et de Réinstallation)

Nom du client: COTCO

Depuis 2003, date de la mise en opération du Système de Transport Camerounais par pipeline, le système a été opéré suivant le strict respect des recommandations inclues dans le plan de Gestion environnemental (PGE). Il a été conçu pour transporter le pétrole
brut ayant des caractéristiques bien connues. De nouveaux puits de pétrole ont été découverts au Tchad et des accords ont été signés entre toutes les parties pour l’acceptation de nouveaux Producteurs. Les caractéristiques de brut n’étant pas les mêmes pour tous des Producteurs, des modifications dans la configuration du système de transport sont nécessaires pour garantir la fluidité du mélange de brut lors des opérations de transport ; notamment au niveau de station de réduction de pression de Kribi. Le changement dû au mélange de bruts de viscosités différentes a conduit à la création du projet de protection de l’écoulement du brut dans le pipeline sous-marin entre Kribi et le Terminal marin Flottant de Stockage et de Déchargement.
L’objectif de l’étude d’impact environnemental et social sommaire est d’évalué les impacts environnementaux et socio-économiques de la mise en œuvre du projet qui consiste au forage de trois puits, à l’installation d’un bassin de stockage d’eau de 64000m 3 5 bassins) et de réservoirs gonflables d’eau, de la tuyauterie nécessaire pour connecter les réservoirs gonflables de stockage d’eau et le système de transport du pipeline, à la construction éventuelle d’un système d’adduction en eau pour l’approvisionnement des réservoirs gonflables à partir de la rivière Kienké. Et d’évaluer les mesures d’atténuations ou de suppressions des impacts négatifs pour les populations et l’environnementtion)

Nom du client: SNH

La Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), dans la perspective d’un marché du brut favorable et en vue d’atténuer la tendance à la baisse de la production nationale, envisage le développement et la mise en production du puits Mvia-1 situé on shore, dans le cadre d’une valorisation au niveau local. La production du champ de Mvia sera vendue à la SONARA. Le brut sera transporté par des camions citernes du site de production à Mvia
jusqu’à à Limbé.
L’étude à réaliser est une étude d’impact environnemental et social (EIES) conformément à la réglementation en vigueur. L’objet de l’étude est de présenter les activités que l’Opérateur se propose de mener, et l’incidence de ces activités sur l’environnement naturel, socio-économique et sur les populations riveraines. Elle indiquera également les mesures d’atténuation à mettre en œuvre par l’Opérateur pour préserver l’équilibre de l’écosystème pendant et après la réalisation des travaux sur le terrain. Cette étude servira de guide de surveillance administrative tout au long de la mise en œuvre du projet.L’objectif de l’étude d’impact environnemental et social sommaire est d’évalué les impacts environnementaux et socio-économiques de la mise en œuvre du projet qui consiste au forage de trois puits, à l’installation d’un bassin de stockage d’eau de 64000m, 35 bassins) et de réservoirs gonflables d’eau, de la tuyauterie nécessaire pour connecter les réservoirs gonflables de stockage d’eau et le système de transport du pipeline, à la construction éventuelle d’un système d’adduction en eau pour l’approvisionnement des réservoirs gonflables à partir de la rivière Kienké. Et d’évaluer les mesures d’atténuations ou de suppressions des impacts négatifs pour les populations et l’environnement

Nom du client: COTCO

La construction du pipeline Tchad Cameroun a créé des nombreuses zones à risque le long du tracé (aires de stockage, bases vie, carrières, emprunts ouvrages d’art, routes etc.) sans compter les impacts sur les aires protégées et l’habitat des peuples autochtones
vulnérables (pygmées). La construction étant achevée il fallait :

  • vérifier que les mesures édictées dans le Plan de Gestion Environnementale (PGE) pour la remise en état et le suivi/surveillance de ces zones ont été respectées ;
  • identifier les changements opérés et proposer des mesures complémentaires au Gouvernement, au CPSP et à la COTCO​

Nom du client: CSPH

Dans le cadre de ses missions, la Caisse de Stabilisation des Prix des Hydrocarbures (CSPH), développe un programme de création des stations-services pilotes dans les zones non desservies par les opérateurs privés bénéficiaires d’’agrement D1.
Ces projets répondent à l’une des préoccupations majeures de la CSPH de pérenniser l’approvisionnement du consommateur et d’offrir aux populations bénéficiaires un accès plus facile et régulier aux produits pétroliers de première nécessité ou de consommation
courante.
Les localités de Tombel dans le Sud-Ouest, Ngoumou et Akono dans le Centre sélectionnées pour accueillir des stations-services pilotes du programme en 2014 sont situées dans des zones qui éprouvent d’énormes difficultés dans les activités économiques en relation avec les produits pétroliers (transports, transformation des produits agricoles, éclairage, etc.).

Nom du client: HYDROMINE

Le barrage hydro électrique de GRAND EWENG sur le fleuve Sanaga permettra de retenir 2 milliards de m 3 d’eau au niveau du fonctionnement maximal avec un seuil de 1.9 Km de long et 95 mètres de haut et un réservoir de 7,368 ha. Sa superficie est de 104 à 144 km2 et il aura une capacité de production de 1800 MW qui en fera le plus grand barrage du Cameroun et un des plus grands d’Afrique. Il est appelé à fournir de l’énergie électrique jusqu’au Nigeria voisin Ce barrage et sa ligne de transport de transport constituent des
infrastructures de très grande envergure susceptibles d’avoir des impacts négatifs potentiels très importants dont les plus remarquables seront : la perte d’habitat et de terres cultivables dans les villages riverains, les réinstallations des populations, la perte de la
biodiversité terrestre et aquatique.
Pour se conformer aux exigences des Bailleurs de fonds internationaux et du Gouvernement Camerounais en matière de Protection de l’Environnement et des communautés riveraines contre les impacts et effets négatifs d’un ouvrage de cettE envergure, le promoteur Hydromine a donc réalisé une Etude d’impact environnemental et social (EIES) détaillée incluant un Plan Gestion Environnemental Social (PGES).

Nom du client: EDC

Le Projet PRERETD dont EDC assure la maîtrise d’ouvrage vise le renforcement, la construction et/ou l’extension des lignes électriques MT et BT dans une trentaine de localités situées dans les départements de la Sanaga Maritime, Moungo et Wouri (Littoral) et une vingtaine dans les départements du Fako, du Lébialem et du Koupé Manengouba dans la région du Sud-Ouest ; Il inclut la réalisation de branchements monophasés ou triphasés, l’installation des compteurs à pré paiement ainsi que l’installation des foyers d’éclairage public.. Les tracés suivront les voies de
communication existantes sans variante importante. L’étude à réaliser est de type étude d’impact environnementale simplifiée (EIES) conformément à la réglementation en vigueur. Le projet est
financé par le Fond Africain de Développement (FAD) de la BAD
La mission de ERE Développement a été effectuée 3 étapes :

  • Une analyse de l’état des lieux dans la zone d’impact directe et indirecte basée sur desenquêtes ;
  • Un recensement des biens et personnes touchées dans l’emprise des lignes ;
  • Des consultations publiques des parties prenantes dans les villages bénéficiaires.

Nom du client: EDC

Le Projet PRERETD dont EDC assure la maîtrise d’ouvrage vise le renforcement, la construction et/ou l’extension des lignes électriques MT et BT dans 37 localités situées dans les départements de lagdo, Mayo, Sorawel dans la région du Nord et 40 localités dans les départements de Yagoua, Moutouroua, Kaélé, Doukoula dans la Région de l’Extrême-nord; Il inclut la réalisation de branchements monophasés ou triphasés, l’installation des compteurs à pré paiement ainsi que l’installation des foyers d’éclairage public.. Les tracés suivront les voies de communication existantes sans variante importante. L’étude à réaliser est de type étude d’impact environnementale simplifiée (EIES) conformément à la réglementation en vigueur. Le projet est financé par le Fond Africain de Développement (FAD) de la BAD. 

La mission de ERE Développement a été effectuée 3 étapes :

  • Une analyse de l’état des lieux dans la zone d’impact directe et indirecte basée sur des enquêtes ;
  • Un recensement des biens et personnes touchées dans l’emprise des lignes ;
  • Des consultations publiques des parties prenantes dans les villages bénéficiaires.

Nom du client: ARSEL

Le projet de barrage de Lom Pangar dans la province e l’Est vise à réguler le cours de la Sanaga qui alimente le barrage d’Edéa principal centre de production de l’énergie électrique du Cameroun et à répondre ainsi aux besoins énormes croissants des industries et des ménages. Ce projet a fait entre 2004 et 2005 l’objet de plusieurs études techniques, socio- économiques et d’impact.

Il est notamment prévu la construction d’une usine hydo- électrique à Lom Pangar qui devrait permettre de couvrir l’essentiel des besoins de la province de l’Est actuellement alimentée dans sa plus grande partie par des centrales thermiques. Cette usine sera reliée à la capitale provinciale Bertoua par une ligne haute tension de 70 km traversant des zones écologiques sensibles et de nombreux villages et hameaux sur son parcours.

L’étude vise à identifier et évaluer les impacts négatifs sur le milieu humain et naturel, à proposer et évaluer des mesures  d’accompagnement, d’indemnisation et d’atténuation desdits impacts dans le cadre d’un plan de gestion de l’environnement (PGE) 

Nom du client: AER

Dans le cadre du projet d’électrification rurale pour le développement de la zone des monts Rumpi (ERD-RUMPI), Agence d’Electrification Rurale (AER) se proposent de construire des réseaux MT  30 KV dans 26 villages réparties dans les arrondissements de Mbonge, dans le département de la Même, et Muyuka, dans le département du Fako, région du Sud-Ouest. Les réseaux seront alimentés dans un premier temps par une connexion au réseau AES SONEL à EkombéBonji, et
finalement par le courant produits par la mini centrale hydroélectrique construite sur les chutes Falls 210 de la rivière Ubè, affluent de la Même. La construction des lignes MT sera suivie par la distribution du courant basse tension aux ménages de la zone du projet moyennant la contribution à l’achat des compteurs. Ce projet est financé par l’Etat du Cameroun et l’Union Européenne.

L’étude d’impact environnemental sommaire vise à évaluer les incidences directes ou indirectes des travaux de construction des lignes électriques moyenne tension et leur exploitation ultérieure sur
l’équilibre écologique de la zone d’implantation.

Affectées par ces travaux, le cadre et la qualité de vie des populations et sur l’environnement en général, et d’autre part à proposer des mesures susceptibles d’éviter ou de minimiser les impacts négatifs desdits travaux.

Nom du client: AES SONEL

AES SONEL envisage de renforcer et d’étendre son potentiel de distribution d’électricité jusqu’à la ville d’Ekondo Titi dans le département du Ndian par la construction d’une ligne moyenne tension de 62 KM entre Kumba et cette localité d’une part et d’autre part le doublement de la ligne entre Njombé et Kumba sur 12 km à partir de la ligne Haute Tension Douala – Ouest. Ce projet devrait
permettre de réduire les fréquentes ruptures d’électricité et baisses de tension dans la ville de Kumba, principal centre commercial de la Région du Sud-Ouest et d’alimenter 25 nouvelles localités situées le long de la route Kumba Ekondo Titi avec des perspectives d’extension jusqu’à Mundemba, Chef-lieu du département du Ndian qui couvre la presqu’ile de Bakassi récemment rétrocédée au Cameroun par le Nigeria. Le tracé suivra la route nationale existante sans variante
importante. L’étude à réaliser est de type étude d’impact environnementale simplifiée (EIES) conformément à la réglementation en vigueur. Cette opération s’inscrit dans la politique du
Gouvernement du Cameroun d’équipement des zones frontalières avec ce pays voisin.
La mission de ERE Développement s’est effectuée 2 étapes :

  • Une analyse de l’état des lieux dans la zone d’impact directe et indirecte basée sur des enquêtes ;
  • Un recensement des biens et personnes touchées dans la zone d’impact de la ligne sur le tronçon Kumba- Ekondo Titi.

REINSTALLATION INVOLONTAIRES

Nom du client: MINTP

Le projet s’inscrit en droite ligne de la politique de développement du Cameroun relative à l’amélioration des conditions de circulation sur le réseau routier national, dont le faible niveau de service actuel entrave la bonne circulation des biens et des personnes. La route Ngaoundéré-Garoua (lots 3 et 4), tronçon de la route nationale N°1 (RN1) traversant le département de la Vina dans la région de l’Adamaoua, et les départements du Mayo Rey et de la Bénoué dans la région du Nord, illustre clairement les difficultés rencontrées par les
usagers au quotidien. La réhabilitation de cette route contribuera significativement à l’amélioration de ses caractéristiques de durabilité (15 ans), de sécurité et de confort.
Pour répertorier les impacts de ce projet, les instruments de réinstallation ont été inclus dans mesures de gestion des impacts afin de :

  • S’assurer que les personnes déplacées sont informées de différentes options et de leurs droits concernant la réinstallation,
  • S’assurer que les consultations, les choix offerts et les alternatives de réinstallation techniquement et économiquement sont réalisables.
  • Rétablir et améliorer de préférence leur niveau de vie par rapport aux projets antérieurs.

Nom du client: PEAC

Le projet d’interconnexion Cameroun-Tchad s’inscrit dans un large programme d’interconnexion des réseaux électriques des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) dont font partie le Cameroun et le Tchad. Ce programme est piloté par le Pool Energétique en Afrique Centrale (PEAC) organisme spécialisé de la CEMAC qui a assuré la coordination de l’étude en relation avec les ministères en charge de l’énergie disposant d’un point focal dans chaque pays. La
zone de l’étude comprend les couloirs des lignes de transport ainsi que les zones d’électrifications rurales situés dans la partie septentrionale du Cameroun et sud-ouest du Tchad.
Le PAR élaboré concomitamment avec l’EIES et le PGES vise à faire un inventaire exhaustif des personnes et biens impactés le long de la ligne haute tension afin d’évaluer les indemnisations et compensations collectives et individuelles selon les normes et grilles applicables dans chacun des pays et les directives de la BAD.

Nom du client: MINEE

Dans le cadre du développement du secteur de l’électricité à l’horizon 2035, le Gouvernement de la République du Cameroun s’est engagé à résorber le déficit en énergie électrique que connait le pays par la mise en place d’un certain nombre d’ouvrages hydroélectriques. Le Cameroun a clairement affirmé son option pour l’hydroélectricité comme source principale d’énergie du pays. Il possède le deuxième potentiel du continent, celui-ci étant d’ailleurs largement sous-exploité. Pour faire face à cette situation dans le réseau interconnecté Nord (RIN), le Gouvernement a opté pour la construction des aménagements hydroélectriques dont celui de WARRAK sur la rivière Bini, situé dans le Département de la Vina, région de l’Adamaoua.

L’aménagement hydroélectrique sur la Bini à Warak consiste en la construction d’un barrage hydroélectrique d’une capacité de 75 mégawatts (MW), d’une ligne d’évacuation d’énergie de 70 kilomètres en 225 kilowatts (KW), d’électrification rurale de 30 KW, de la réhabilitation et construction de voies d’accès à partir de la route Ngaoundéré –Touboro, la gestion des aspects environnementaux et sociaux, la sous-traitance locale, la gestion du projet et assistance technique. Le projet a un coût estimé à 85 milliards de FCFA (130 millions €), y compris la ligne d’évacuation d’énergie.

Selon l’évaluation environnementale de 2014, les effets les plus importants du projet sont ceux sur la population locale notamment le déplacement d’environ 420 ménages ; en plus tous les villages le long du réservoir vont perdre une partie de leurs terres agricoles et pastorales ; ceux situés le long de la route subiront les effets de chantier. La construction drainera des populations en quête
d’emplois ou en quête d’opportunités d’affaires. Des mesures devront être prises pour minimiser et compenser les impacts ; notamment l’élaboration d’un certain nombre de documents-cadre dont ceux concernés par la présente mission.

Cette mission vise à élaboration du Plan d’Action et de Réinstallation (PAR), du Plan de Gestion Des Afflux Sociaux (PAS), et du Plan d’Engagement des Parties Prenantes (PEPP) en vue de conformer l’exécution et l’exploitation de l’aménagement hydroélectrique de Bini a Warak à la réglementation nationale et aux meilleures pratiques internationales en matière de déplacement involontaire. Il a également été élaboré le Système d’information géographique (SIG) et le Système environnemental et sociétal (SIES) en vue de constituer la base de données du projet.main.

Nom du client: MINEPIA/PRODEL

Dans le cadre du Projet de Développement de l’Elevage, le Gouvernement du Cameroun à travers le Ministère de l’Elevage, des Pêches et des Industries Animales (MINEPIA) entend mettre en place avec le soutien de la Banque Mondiale des stratégies pour améliorer la productivité, la résilience et les moyens de subsistances des éleveurs dans les zones du Nord, de l’Est, du Centre, de l’Ouest et du Nord-Ouest. Ce projet a pour but de renforcer le système de santé animale, ceci pour contrôler la prévalence des parasites et des maladies infectieuses ; apporter un appui au pastoralisme et à la résilience des communautés et des ménages pastoraux ; intensifier les systèmes de production et de développement des chaines de valeurs et mettre en place une unité de coordination et de suivi du Projet. Le cadre fonctionnel comprend :

  • Identification des parcs nationaux dans la zone du projet
  • Evaluation social de la population utilisant les parcs ou des aires protégées
  • Identifier les critères d’éligibilité des personnes affectées
  • Identifier les mesures à prendre pour aider les personnes affectées par le Projet
  • Elaborer les mesures ou résolutions à prendre pour les conflits impliquant des personnes déplacées

Nom du client: MINEPAT

Le gouvernement camerounais, avec l’appui financier de la Banque Mondiale, prépare depuis le mois de juin 2010, un financement additionnel dans le cadre du Projet de Compétitivité des filières de Croissance (PCFC). Le second volet de ce projet concerne la composante 1 relative à la transformation durable du bois. La composante 1 consistera entre autres, à la création d’un cluster bois pilote sur un terrain d’une superficie de 50ha près de Nkolbisson à
Yaoundé. Le cluster bois va améliorer qualitativement l’offre dans le secteur de la transformation du bois au Cameroun. Les activités prévues dans le cadre de la construction et l’exploitation de ce cluster seront susceptibles de générer des impacts significatifs sur le
milieu récepteur.

Conformément à la réglementation en vigueur le projet élaborera un Plan d’action de Recasement pour définir tout le processus de réinstallation de personnes qui pourront être déplacer. En outre, ce plan indiquera également les mesures appropriées permettant soit d’éviter, d’atténuer ou de minimiser les impacts négatifs, soit d’optimiser les impacts positifs du projet.

Nom du client: COTCO

Le barrage hydro électrique de GRAND EWENG sur le fleuve Sanaga permettra de retenir 2 milliards de m3 d’eau au niveau du fonctionnement maximal avec un seuil de 1.9 Km de long et 95 mètres de haut et un réservoir de 7,368 ha. Sa superficie est de 104 à 144 km2 et il aura une capacité de production de 1800 MW qui en fera le plus grand barrage du Cameroun et un des plus grands d’Afrique. Il est appelé à fournir de l’énergie électrique jusqu’au Nigeria voisin Ce barrage et sa ligne de transport de transport constituent des infrastructures de très grande envergure susceptibles d’avoir des impacts négatifs potentiels très importants dont les plus remarquables seront : la perte d’habitat et de terres cultivables par près de 500
ménages deas les villages ennoyés et riverains, le déguerpissement et la réinstallation de ces populations.

Pour se conformer aux exigences des bailleurs de fonds, Hydromine a jugé nécessaire de faire élaborer un Cadre de Politique de Réinstallation (CPR) pour établir les bases et orientations du Plan d’Action de Réinstallation (PAR) qui devra être réalisé à très court terme en concertation avec l’administration.